WALAÏ ! MR X A CES CHOSES REPUGNANTES COMME LA PEDOPHILIE , LE VIOL , L’HOMOSEXUALITE … , EN AVERSION
MAIS
CE QUI SE PASSE Là-Bas là , Si c’est Vrai ! , DEFIE La MORALE ET LE DROIT FONDAMENTAL .
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L’adultère est dorénavant sévèrement puni par lapidation jusqu’à la mort et l’homosexualité d’une peine de plus de huit ans d’emprisonnement dans la province indonésienne d’Aceh, selon une nouvelle loi adoptée lundi à l’unanimité par les députés locaux.
Cette loi, qui prendra effet dans un mois, vient durcir les strictes lois islamiques déjà appliquées dans cette province semi-autonome d’Indonésie, premier pays musulman au monde.
Cette version de la chariah, introduite en 2001 dans la province d’Aceh, interdit par exemple les jeux d’argent et la consommation d’alcool et impose le port du foulard islamique aux femmes. Une police spéciale chariah est chargée de punir les contrevenants: des dizaines de personnes ont déjà subi des séances publiques de coups de bâton.
Pitié ! Ai-je demandé à vivre ici
La nouvelle loi stipule que « toute personne qui commet délibérément l’adultère est passible de 100 coups de bâton pour les non-mariés et de lapidation à mort pour les personnes mariées ».
Par ailleurs, « toute personne pratiquant délibérément l’homosexualité ou le lesbianisme est passible de 100 coups de bâton et d’une amende de 1.000 grammes d’or fin ou d’une peine de 100 mois d’emprisonnement ».
Le viol et la pédophilie sont également sévèrement punis.
Le Parlement régional de la province d’Aceh a adopté cette loi malgré les vives objections des groupes de défense des droits de l’homme et l’opposition du vice-gouverneur provincial Muhamad Nazar.
WOO ii WOO ii Aï Aï Si j’étais née ailleurs où il n’y a pas cette barbarie ?
Nous avons crevés lapidés par nos frères qui disent qu’ils craignent un Dieu Bon
Où se trouve la leçon de bonté que vous avez reçue de lui ? Où est cet amour frères ?
Selon des sources iraniennes, un homme de 30 ans, Vali Azad, employé du Département du Commerce, a été lapidé samedi 14 mars dans l'enceinte de la prison de la ville de Rasht, située au nord de l'Iran.
Le motif de la sentence de mort par lapidation* prononcée par le président du tribunal islamique n'a pas été communiqué. Selon Iran Human Rights Voice, M. Azad a été condamné à mort pour adultère.
La lapidation s'est déroulée à l'abri des regards, dans une partie reculée de la prison. Seuls divers représentants des autorités judiciaires et pénitentiaires ont assisté au supplice.
Après l'exécution, les autorités ont refusé de rendre le corps du supplicié à sa famille. La dépouille mortelle a été enterrée dans un lieu inconnu.
Le 6 mars dernier, la Justice iranienne a confirmé la condamnation à la lapidation prononcée contre une jeune femme nommée K. Achraf. Celle-ci est actuellement incarcérée à la prison Evine de Téhéran.
Le 10 mars, un condamné nommé Hamed Mohammad Zadeh à été pendu à Oroumieh, dans le nord-ouest de l'Iran.
Le samedi 14 mars, quatre hommes, dont un mineur au moment des faits, ont été pendus dans la prison de la ville de Shiraz.
Depuis le début de l'année, plus de 90 personnes ont été exécutées en Iran.
Photos : Lapidation ; pendaison en Iran. Le code pénal de la République Islamique, articles 102 et 104, définit les conditions de la lapidation : "Les pierres utilisées pour infliger la mort par lapidation ne devront pas être grosses au point que le condamné meure après en avoir reçu une ou deux. Elles ne devront pas non plus être si petites qu'on ne puisse leur donner le nom de pierre. La taille moyenne est choisie généralement afin de faire expier la faute par la souffrance". Les lapideurs doivent rester à distance d’une quinzaine de mètres de leur cible et choisir avec soin leurs pierres : Les pierres coupantes sont choisies pour leurs arrêtes effilées qui provoquent les saignements les plus spectaculaires. Une pierre coupante doit de préférence être lancée au visage du condamné. Les pierres rondes nécessitent moins de précision car elles sont efficaces partout. Elles sont idéales pour briser les os et provoquer les hémorragies internes fatales. (Texte : iran-resist.org)
PITIE ! PAUVRE FEMME ET SŒUR PITIE !
Haut et Court - photo de Farnood -
numéro Spécial de l'Expess Les images de l'année 2002.
Sur cette photo on voit trois jeunes garçons pendus au bout de grues ; une vingtaine de personnes sont regroupées près des pendus et quelques policiers sont là aussi. Cela se passe au pied des montagnes dans un petit village qui a l'air paisible. Le ciel est bleu mais cela ne change rien à toute cette horreur.
Haut et court
En Iran des pendus, sur des grues, le 29 septembre, dans un petit village près de Téhéran.
Ils sont pendus accusés de viol ou de vols, sans distinction.
La république islamique traite tous les forfaits d'un même châtiment.
Un professeur d'histoire a été sauvé de justesse par une manifestation l'innocentant des accusations portées arbitrairement contre lui. Abdel, Harry
La Charia et la lapidation des femmes en Iran
Photo : on enterre cette femme jusqu'à la taille pour ensuite lui lancer des pierres jusqu'à ce que mort s'en suive.
Hajiyeh Esmaelvand a été tuée à coups de pierres en décembre 2004, en Iran. Son crime : l'adultère. Hajiyeh n'est qu'une des victimes de cette loi de la Charia.
La lapidation des femmes est appliquée en Iran, au Pakistan, en Afghanistan, au Nigeria et en Arabie Saoudite.
Au Secours ! Au Secours ! Au Secours ! Au Secours ! Au Secours !
UNE FEMME ENTERREE VIVANTE ET LAPIDEE JUSQU'A MORT
SOUVENT POUR CAUSE D’ADULTERE
HUMANITE ! HUMANITE ! L’HORREUR ET L’ABOMINATION SONT A LEUR COMBLE !
Mais Pourquoi ? POURQUOI CE SILENCE COUPABLE ?
Je Vous En Prie FAITES QUELQUE CHOSE ! OUI! QUELQUE CHOSE !